diff --git a/pica-mail-mta/sasl-test/ldap-virtual-mailbox-maps b/pica-mail-mta/sasl-test/ldap-virtual-mailbox-maps index 8833ec09342a8c01948b94ce9ffd90259141168f..376ea6eca1315f1ab43f51dd4b245856abec1d8d 100644 --- a/pica-mail-mta/sasl-test/ldap-virtual-mailbox-maps +++ b/pica-mail-mta/sasl-test/ldap-virtual-mailbox-maps @@ -6,12 +6,12 @@ #filtre permettant d'accepter certaines entrées: ici, le paramètre en entrée est %u, ce qui correspond à la partie de gauche d'une adresse mail. #on aurait pu utiliser %s pour avoir toute l'adresse, ou %d pour avoir la partie de droite. #uid correspond au champ LDAP utilisé, on aurait pu aussi utiliser cn, ou n'importe quel autre champ, c'est arbitraire. -# query_filter = (&(uid=%u)(paid_up=true)) +# query_filter = uid=%u +#ce qui sera retourné par la requête. Comme le but est seulement de vérifier si l'adresse existe, il faut juste que ce champ soit non vide. +# result_attribute = uid #les domaines acceptés. Si on nous demande de vérifier john@google.com, on ne prendra pas la peine de vérifier si on a un utilisateur qui s'appelle john. # domain = picasoft.net #le bind au serveur (un utilisateur spécial utilisé pour se connecter au LDAP et lire son arborescence (à l'exception des hashs de password)) # bind = yes # bind_dn = cn=nss,dc=picasoft,dc=net # bind_pw = rdonly - -#NB: on n'a pas besoin de result_attribute parce que ces lookups ne servent qu'à vérifier si une adresse existe chez nous. diff --git a/pica-mail-mta/sasl-test/local_users b/pica-mail-mta/sasl-test/local_users deleted file mode 100644 index e1ec6254d9faa787c48366491327a1f06a517178..0000000000000000000000000000000000000000 --- a/pica-mail-mta/sasl-test/local_users +++ /dev/null @@ -1,3 +0,0 @@ -mail1 mail1 -mail2 mail2 -#attention: la partie après les deux points n'est pas interprétée, ceci liste les adresses existantes mais n'effectue aucun contrôle d'accès